Soyons honnêtes : tous les parents ont déjà un peu “arrangé la vérité” avec leurs enfants. Parfois pour leur faire manger des légumes, parfois pour éviter une crise, parfois juste… pour tenir le coup après une journée marathon 😅.
Voici notre TOP 10 des petits mensonges parentaux qui passent crème, avoue, toi aussi tu les as déjà utilisés 👇
1. “Mais siii, les galettes végan sauce barbecue c’est hyper bon ! Tu vas te régaler à la cantine aujourd’hui !”
Version parent : “Au secours, fais juste un effort, que ça passe sans drame…”
2. “Hein ? Elle est courte l’histoire ? Pourtant j’ai pas sauté des pages…”
Alors qu’en vrai tu as fait express pour qu’il soit déjà au lit.
3. “Oui, 18h15 c’est l’heure du dîner, parfaitement !”
Raccourci express quand tu rêves de ton canapé à 21h maximum.
4. “Si tu te tiens pas tranquille dans ton siège, on va se faire arrêter par la police, et là… !!!”
Technique ancestrale de tous les parents du monde.
5. “Tu m’as drôlement gâtée cette année, qu’il est beau ton cadeau ! Bien sûr que je vais m’en servir tous les jours… Euh… c’est quoi exactement ?”
On a tous un collier de pâtes ou une “sculpture” abstraite planquée quelque part.
6. “Noël approche, ils sont partout… les lutins ! Ils te voient quand tu n’es pas sage et ils rapportent tout au Père Noël…”
L’arme fatale de décembre 🎅.
7. “Ah ? Il a goût d’eau avec du miel ce médicament ? Vraiment ?”
Spoiler : non. Mais faut bien essayer.
8. “Les licornes ? Bien sûr qu’elles existent ! Elles vivent juste au pays des licornes…”
Et ça marche (au moins jusqu’à 6 ans).
9. “Si tu retournes ton oreiller, tu ne feras plus de mauvais rêves…”
(Tout ce qu’on veut c’est qu’il s’endorme… enfin 🙏).
10. “Tu crois qu’elles mangent quoi les princesses pour être aussi belles ? Des brocolis évidemment !”
Mission légumes accomplie ✅.
💡 Le saviez-vous ?
Des études en psychologie ont montré que les enfants comprennent dès l’âge de 3 ans que leurs parents peuvent mentir… mais ils considèrent souvent ces petits mensonges comme des “histoires magiques”.
Selon une étude publiée dans Developmental Science, les “mensonges bienveillants” renforcent même parfois la complicité parent-enfant, tant qu’ils restent légers et non traumatisants.
En clair : pas de panique, ces petits mensonges font partie du folklore de la parentalité 😉.
