★ FRAIS DE PORT AVANTAGEUX À 5,90€* ! CADEAUX DE NAISSANCE ORIGINAUX FAITS MAIN PAR DES CRÉATRICES FRANÇAISES ★

Mélissa, Auxiliaire Petite Enfance nous raconte la vie en crèche...

Melissa, pouvez-vous nous présenter votre métier ? Ainsi que la formation nécessaire pour pouvoir le pratiquer ?

Je suis auxiliaire petite enfance en crèche ( APE ), je suis sous la responsabilité de la directrice de crèche ainsi que de l’auxiliaire de puériculture.
J’ai pour mission de veiller au bien-être des enfants et de les accompagner tout au long de la journée, de veiller à l’encadrement et à la sécurité des enfants, organiser et préparer des activités adaptées à leurs développements (jeux, ateliers, coin cocoonings etc..) participer à l’entretien des locaux et à la préparation des repas/biberons.
Pour travailler au sein d’une crèche il faut principalement le CAP petite enfance.

Une journée type dans votre travail, ça ressemble à quoi ?

Une journée type commence tout d’abord par la mise en place des jeux/tapis divers pôles d’intérêts : le coin calme, le coin jeu (avec des jeux de construction/déconstruction, des jeux d’imitation etc.) et le coin lecture. Les enfants peuvent les investir tout au long de leur journée au gré de leurs envies/besoins, aussi, la vérification du matériel nécessaire à disposition pour les changes, avant l’arrivée des enfants.
Et ensuite, nous commençons à accueillir et prendre les transmissions des parents concernant leurs enfants (dernier repas pris à la maison, le comportement durant la nuit, traitement à donner...)
Nous mettons en place les activités adaptées propice à l’éveil et à leurs développements de tout-petits et/ou les mettre au lit s'ils ont besoin de sommeil . Tout cela en adaptant l’heure du repas.
L’après-midi nous changeons les jeux mis en place afin de varier leurs activités.
Au retour des parents nous donnons nos transmissions prises tout au long de la journée (l’heure de prise des repas, durée de la sieste, le nombre de changes, changement éventuel de comportement...).

Des liens se créent-ils entre vous et les enfants ? Comment retrouvent-ils une « sécurité affective » ?

Oui bien sûr, nous essayons d’avoir avec mes collègues le même groupe d’enfants le plus souvent dans la journée afin qu’ils aient eux même leurs propres repères.
La sécurité affective est tout aussi importante que la sécurité physique. Il s’agit de proposer à l’enfant un environnement psychologique stable et serein dans lequel il pourra s’épanouir. Nous sommes convaincues que le travail de coéducation que nous menons avec les parents contribue à ce sentiment de confiance.
C'est à dire que, lorsque les parents sont sereins de laisser leur enfant à la crèche, persuadés qu’il sera en sécurité, ils transmettent un sentiment positif à leur enfant, ce qui facilitera la séparation et le déroulement de la journée.
Ce sentiment de sécurité se crée aussi par notre façon de s'adresser à l’enfant. En nommant les gestes que nous effectuons sur lui par exemple, en lui expliquant le déroulement de sa journée, en le prévenant de ce qui va se passer, nous le rendons acteur de sa journée à la crèche.
Nous lui permettons ainsi d’anticiper les évènements et de se repérer dans le temps.

Selon vous quels sont les avantages pour des parents de choisir ce mode de garde collectif ? Quels seraient vos mots pour rassurer de jeunes parents hésitants?

Pour moi les avantages concernant le mode de garde collectif ce sont les locaux adaptés au besoin de l’enfant et surtout un personnel formé et encadré qui est totalement disponible.
La vie en collectivité apprend également à partager, à s’imposer et à être mieux « armé » et préparé, selon moi, pour l’entrée à l’école.

Merci Melissa pour votre témoignage!



Laisser un Commentaire

Votre adresse email ne sera pas publié.

Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies

J'accepte